Merci Installé dans l’avion qui nous ramène à Paris, je revois notre bref séjour en Islande, bref mais combien intense. Le mauvais temps possible islandais, bien connu, mais surtout le vent puissant sont oubliés, ainsi que les obligations dues au virus. Restent la lave noire refroidie à nos pieds, au-dessus d’elle la bouche du cratère qui vomit des flots de lave rouge et jaune et, en contrebas, un flot jaune, orange et rouge de lave qui coule à près de 40 kms / h …Ce fut le point d’orgue de ce séjour composé de volcans, de Gésir, de cascades, de phénomènes volcaniques propres à l’Islande. Un voyage dont le timing fut tenu de main de maître par nos sympathiques responsables Natanael et Christophe.