![](/app/uploads/2018/09/Vincent-Lecomte-150x150.jpg ?>)
Vincent Lecomte
Écologie Polaire
8 juillet
19 juillet 2024
Vincent Lecomte
Écologie Polaire
Maxime Barthelme
Photographie Polaire
Fabrice Jonckheere
Guide polaire
Rémi Suchowierch
Guide naturaliste
Fabrice Capber
Guide Polaire
Frédéric Bouvet
Croisières Polaires au Spitzberg
Audrey Roustiau
Arctique, Groenland et Islande
Jean-Marie Seveno
Photographe
Sarah Galtier
Conseillère croisières
Certaines photos d’illustrations ont été prises lors de précédents voyages. Lorsque celui-ci sera terminé, nous publierons les photos de la croisière.
Bienvenue dans la famille Grands Espaces !
Le rendez-vous est pris : nous nous retrouvons à l’aéroport de Paris avec la grande majorité de notre groupe et rencontrons notre chef d’expédition Vincent, notre directrice de croisière Sarah et notre guide Fred.
Après les présentations faites, nous embarquons à bord de notre avion en direction de l’hôtel à Oslo : la nuit sera courte… car nous nous dirigerons vers Longyearbyen en début de matinée par notre dash 80 en partant à la rencontre de l’autre partie du groupe, venu de Suisse. Une annonce est faite par notre directrice de croisière pour nous donner les informations d’horaires et de points de rendez-vous lorsque nous poserons le pied à terre, en grande hâte.
Nous arrivons à Longyearbyen, capitale du Spitzberg aux sommets auréolés d’une légère brume conférant à notre paysage une ambiance très énigmatique, située à l’ouest de l’archipel du Svalbard, ville minière et charbonnière. Nous sommes enfin en Arctique !Fondée en 1906 par John Munro Longyear, point de départ de notre croisière expédition, nous arpentons les rues de cette ville aux portes de l’arctique après avoir fait le plein de souvenirs car nous savons que nous n’en aurons pas le temps nécessaire au retour.
Le temps de découvrir les musées, quelques saxifrages et driades, nous faisons route vers le bateau et découvrons notre résidence pour les semaines suivantes. Notre équipe d’expédition se présente à nous ainsi que notre responsable hôtellerie, Yamila.Il est temps de se rendre à table après avoir découvert le programme du lendemain, direction la Baie du Roi. Les flots nous accompagnent doucement vers nos cabines pour profiter d’une nuit au rythme des vagues.
L’Ocean Nova se réveille à l’entrée du fjord du Roi. Il s’immobilise devant la réserve naturelle d’Ossian Sars, du nom du biologiste marin norvégien éponyme, taxidermiste des animaux aquatiques et spécialiste de la pêche des espèces pélagiques, en visite au Spitzberg en 1878.
Nous débarquons sur la grève encombrée de glace en dérive depuis le glacier du Roi.
Nous entamons une marche vers un promontoire de 105 mètres au-dessus de la mer. Un renard arctique, assis sur un rocher, observe notre manège sans bouger. Nous nous en approchons à pas de « loup ». Sans crainte, il nous dévisage, demeure immobile avant de lentement se déplacer dans notre direction puis de décrire une élégante volte. Un silence admiratif l’accompagne, avant de disparaître derrière un surplomb.
Nous poursuivons notre ascension, étudiant au passage des bois de rennes au sol, selon toute apparence arrachés à leur propriétaire, preuve de la prédation par un ours. Au sommet, à quelques pas en surplomb de la falaise où se pressent des milliers de mouettes tridactyles, une harde de rennes paisse en toute tranquillité. Leur pelage indique une mue récente.
Nous redescendons après deux heures et demie de marche et regagnons le navire pour nous délecter d’un déjeuner bien mérité. L’Ocean Nova se repositionne à Ebeltofhamna, une lagune située en face du glacier du 14 juillet.
Un morse d’âge avancé git sur la grève, éventré par un ours passé ici il y a peu. Les zodiacs quadrillent la zone afin d’en retrouver la trace. Au passage, nous croisons la route de deux phoques annelés jouant à nous observer autour des zodiacs, de quelques rennes isolés dans la toundra, d’oies bernaches et d’eiders.
La lumière issue des moraines avoisinantes illumine les eaux bleues gorgées de sédiments glaciaires. La teinte brune et rouge des montagnes parsemées de névés blancs nous rappelle l’ancienneté de ces terres vénérables (plus de 700 millions d’années) et le phénomène de rebond isostatique qui a permis à ces socles sédimentaires, autrefois sous l’eau, de remonter de quelques mètres suite à la fin de la dernière période glaciaire il y a de cela 10 000 ans.
Nous rentrons au navire pour « le récap » consacré au renard polaire, présenté par notre guide Rémi.
S’ensuit le cocktail du commandant et son discours d’accueil en sa demeure de nombreux mois par an.
Nous restons en éveil, en observation de la présence potentielle d’un ours en maraude le long de ces berges, pourvu que notre surveillance porte ses fruits durant la nuit.
Nous nous réveillons ce matin à 78°38’ de latitude nord. L’Ocean Nova stationne devant le glacier de Smeerenburg, dans le Bjørnfjord (fjord de l’ours). Ce fjord prolonge le fjord de Smeerenburg. Tout comme le glacier du même nom, ce fjord tient son nom de la cité baleinière de Smeerenburg située à quelques encablures de là sur Amsterdamøya (l’île d’Amsterdam). Smeerenburg signifie « ville de la graisse » en hollandais. Ce nom résume à lui seul le sort réservé aux dizaines de milliers de cétacés découverts dans cette région par Willem Barents en 1596. C’était effectivement la grande époque de la ruée vers la graisse de baleine, qui tout au long du XVIIe siècle décima la quasi-totalité des baleines du Spitzberg. L’huile extraite de cette graisse était conditionnée sur place en barils puis envoyée dans toute l’Europe. Elle était utilisée pour l’éclairage urbain principalement.
La matinée est consacrée à une longue croisière en zodiac devant le front de glace du glacier de Smeerenburg. C’est notre premier contact avec la glace grandeur nature ! Ce front glacé, qui se dresse par endroits à plus de 70 mètres, est très impressionnant. Les paysages alentour, jalonnés de montagnes pointues entrecoupées de glaciers, sont typiques de cette région du Spitzberg. La beauté du site ne doit pas nous faire oublier ses dangers. Les vêlages de séracs, dont un très impressionnant, nous rappellent combien la nature peut être à la fois belle et cruelle. Ils nous font également réfléchir à l’avenir des régions arctiques, bien plus soumises aux effets des changements climatiques que le reste du monde.
Au cours de cette sortie, de nombreuses espèces d’oiseaux sont observées (guillemots, mouettes tridactyles, goélands bourgmestres, labbes parasites, eiders à duvet, etc.), ainsi qu’un phoque annelé et un phoque barbu. Ce dernier, très curieux, s’est laissé observer pendant de longues minutes, un régal pour les naturalistes en herbe que nous sommes.
Vers 13h, l’Ocean Nova reprend sa route vers le nord pour contourner le Spitzberg et atteindre demain le détroit d’Hinlopen. La navigation sera longue, les guides sont à l’affût de la moindre présence suspecte le long des côtes. En effet, dans cet environnement d’apparence austère, la vie animale est bel et bien présente partout, et l’ours polaire peut surgir à tout moment. Nous longeons dans un premier temps Danskøya (l’île aux Danois), puis Amsterdamøya ainsi que Smeerenburg, dont il ne reste que quelques socles vestigiaux de fours que nous apercevons au loin derrière une échouerie de morses.
En route, nous faisons une halte à Sallyhamna en milieu d’après-midi pour y effectuer une sortie sous un soleil radieux. Il s’agit d’un autre site baleinier où des vestiges de fours à graisse et une tombe de baleinier sont encore visibles. Une hutte de trappeur norvégien érigée en 1937 est également présente. C’est sur ce site, l’un des mieux préservés du Spitzberg, que nous nous imprégnons de cette dure vie des hommes venus ici pour exploiter une ressource animale que l’on croyait, à l’époque, inépuisable.
En début de soirée, le récapitulatif traite de divers sujets tels que le glacier de Smeerenburg, le phoque barbu ou le concours photographique proposé lors de cette croisière.
Ce n’est que notre deuxième jour d’expédition polaire, mais nous avons l’impression d’être partis depuis bien plus longtemps tant les découvertes se succèdent !
Nous nous réveillons à 7h15 en face du site d’Alkefjellet, situé au nord de l’île du Spitzberg.
La falaise de dolérite, une roche magmatique plutonique, offre une zone de nichage à des dizaines de milliers de guillemots de Brünnich et à quelques couples de goélands bourgmestres et de mouettes tridactyles. Les zodiacs sont mis à l’eau peu après 8 heures et nous partons découvrir ce site magnifique pendant plus de trois heures. Nous approchons des colonnes de dolérite afin d’admirer de près ces oiseaux et leurs incessants allers-retours dans le détroit d’Hinlopen pour se nourrir. Nous arrivons à proximité d’une cascade rugissante, accompagnée d’un arc-en-ciel aux couleurs enchanteresses.
Notre attention est à deux reprises détournée de ces alcidés car deux renards se meuvent sous les falaises, en recherche eux aussi de nourriture. Ils se laissent photographier sous toutes les coutures pour notre plus grand plaisir.
Le deuxième trouve un guillemot dans un pierrier en bas de la falaise et se met à le dévorer devant nous. Les appareils crépitent pour immortaliser cette très belle observation.
Après un copieux déjeuner, Audrey donne une conférence sur la découverte du Svalbard en 1596 par Willem Barentsz. Une heure plus tard, c’est déjà l’heure de l’activité suivante : une sortie pédestre dans la baie de Palander (Palanderbukta en norvégien).
Après un court transfert en zodiac, nous nous voyons proposer trois activités : une croisière en zodiac pour ceux qui ne veulent pas marcher, une marche moyenne sur la calotte de Vega et enfin une marche longue pour monter bien en hauteur sur cette calotte. Nous nous répartissons rapidement en trois groupes et partons à nouveau pour trois heures d’excursion. Cette marche sur une calotte est une première pour beaucoup d’entre nous. Nous devons enjamber ou parfois même sauter au-dessus de bédières dont les eaux bleu-turquoises dévalent à grande vitesse le lit qu’elles ont creusé à la surface de la calotte. Ceux qui sont restés sur la plage ont l’immense chance de pouvoir observer un gros phoque barbu avec un glacier en toile de fond. Nous sommes tous reconnaissants de ces merveilleuses observations et mesurons l’immense chance d’être ici, ensemble, et de profiter de cette ambiance arctique.
À 19 heures, c’est l’heure de l’habituel récapitulatif. Vincent teste les passagers sur leurs connaissances ornithologiques avec un quiz avant de présenter les principales caractéristiques du guillemot de Brünnich. Audrey enchaîne ensuite avec une courte explication sur la géologie de la falaise d’Alkefjellet et comment celle-ci s’est mise en place. Après le dîner à 19h30, nous sommes tous « réquisitionnés » pour « spotter » dans le détroit d’Hinlopen, c’est-à-dire chercher des ours aux jumelles depuis la passerelle ou le salon panoramique de l’Ocean Nova. Le seigneur de l’Arctique fréquente régulièrement ces lieux et nous espérons très bientôt voir le bout de son museau.
Les plans de la journée ont changé pendant la nuit, et c’est avec surprise que nous nous réveillons dans un nouvel endroit, au fond du majestueux Wahlenbergfjord, dans la baie de Kloverblad. À l’aube, nos guides scrutent les côtes à la recherche d’un ours. N’ayant rien trouvé depuis le bateau et animés par l’esprit d’aventure, ils décident de lancer deux zodiacs en reconnaissance, explorant les baies alentour à la recherche d’un plantigrade.
Soudain, un appel radio retentit : un ours a été repéré ! L’excitation monte alors que tous les passagers embarquent sur les zodiacs. Nous nous approchons en formation groupée, et là, devant nous, se tient une jeune femelle ourse. Elle nous offre le privilège de l’observer pendant des heures, naviguant gracieusement entre les plaques de banquise et jouant avec une bassine en plastique trouvée au fond de l’eau. Après avoir nagé longuement, elle grimpe sur la terre ferme, se roule dans l’herbe pour se sécher, puis poursuit son chemin. La scène est magique. Respectueusement, nous la laissons continuer sa route, retournant au bateau pour un déjeuner bien mérité.
L’après-midi nous mène vers Ardneset, avec l’espoir de voir une colonie de morses.
À bord, Jean-Marie organise un atelier photo dans le salon panoramique, captivant l’attention des passagers. En pleine navigation, Rémi, toujours à l’affût, repère un autre ours sur une petite île à quelques encablures de notre destination. L’annonce retentit depuis la passerelle de commandement, et tous se précipitent sur les ponts extérieurs, jumelles en main.
Le chef d’expédition, déterminé à offrir une autre rencontre mémorable, décide de mettre les zodiacs à l’eau. Nous nous dirigeons vers l’île, mais un brouillard épais descend rapidement, enveloppant l’île dans une ambiance mystique. L’ours, silhouette fantomatique, se déplace sur la crête, sans jamais redescendre vers nous.
Nous poursuivons notre tour de l’île, naviguant sur une mer formée. De l’autre côté, nous apercevons à nouveau l’ours, une silhouette lointaine sur la crête, avant qu’il ne disparaisse définitivement. Nous comprenons alors que, parfois, c’est la nature elle-même qui décide du spectacle.
Sur le chemin du retour, nous sommes comblés par une dernière surprise : un morse émerge des eaux, offrant une ultime rencontre. De retour à bord de l’Ocean Nova, nous nous réunissons dans le salon panoramique, levant nos verres en célébration de ces deux premières rencontres avec les ours, savourant chaque moment de cette journée épique autour d’un cocktail « le verre de l’ursidé » bien mérité.
Une journée de navigation placée sous le signe de la recherche de la banquise.
Nous voguons plein nord et vers 13 h, nous coupons le 81ᵉ parallèle : le navire est alors à 999 km du pôle Nord. Pendant la matinée, Fabrice nous a présenté ses connaissances sur les morses, des animaux auxquels il porte visiblement une grande affection.
Après le déjeuner, nos guident animent des ateliers sur les différentes sortes de cartes : météo et des glaces, marines, géologiques et topographiques.
Enfin, c’est vers 17 heures que l’Ocean Nova aborde une banquise compacte mais très morcelée et l’atmosphère est on ne peut plus polaire : le plafond est bas et il neige par intermittence, quelle ambiance ! Pendant les deux prochaines heures, nous allons longer cette banquise trop compacte pour que l’Ocean Nova puisse s’y aventurer avec aisance. De nombreuses paires de jumelles scrutent les plaques de glace à la recherche du seigneur des lieux, l’ours. Malheureusement, la visibilité ne facilite pas notre tâche mais à l’inverse heureusement, de nombreux oiseaux et quelques phoques animent ce paysage glacé. En effet, la glace de mer est le support d’une chaîne alimentaire, dont le premier maillon est les algues microscopiques qui poussent sur sa surface sous-marine. Rémi nous expose dans une présentation brillante, tous les autres aspects de cette banquise que nous sommes venus de si loin pour voir.
Après le dîner, le commandant Barrios manœuvre habilement son navire entre les plaques pour s’enfoncer plus profondément dans cette vaste étendue blanche où nous passerons la nuit, ou plus exactement, nos heures de sommeil (bien méritées !), pendant que les guides se relayeront dans l’espoir de nous réveiller pour observer un ours plus réel que celui qui sera dans les rêves de nombreux passagers.
En ce jour de fête nationale française, nous nous réveillons au coeur de la banquise : nous nous trouvons par 81°41’ de latitude Nord. Entre nous et le Pôle Nord, aucune activité humaine, juste le monde des glaces avec ses habitants que sont les guillemots, mergules, fulmars et autres ours, morses.
La température est de circonstance, mais pas polaire, il fait 3°C. Une légère brume est présente mais notre regard porte sur 500 mètres, cela suffit amplement pour réaliser une première activité, à savoir embarquer sur les zodiacs et rejoindre une plaque de banquise suffisamment importante pour que l’ensemble des passagers et des guides puissent s’y déplacer en toute sécurité. Cette expérience hors du commun restera très certainement ancrée dans nos souvenirs les plus mémorables de ce séjour.
Pour couronner cet instant, une collation chocolatée nous est offerte. Après 30 – 40 minutes à « ressentir » la glace, nous reprenons place à bord des zodiacs pour effectuer une promenade entre les plaques de glace. Nous profitons des connaissances de nos guides pour enrichir un peu nos connaissances acquises au cours des conférences sur le sujet.
Dès notre retour à bord, l’Ocean Nova se remet en route avec pour objectif l’île Charles XII.
Durant ce trajet, en fin de matinée, Vincent nous propose la fin de sa conférence sur l’ours polaire. Dans l’après-midi, c’est Fabrice qui présente une conférence articulée autour de deux thèmes : « Qu’est-ce que l’arctique ? » et « Les brise-glaces ».
Au regard de notre avancée, notre équipe de guides nous propose un récapitulatif : Vincent évoque les activités de fin de journée et de demain avec notamment le fait d’atteindre la mythique Île Blanche, une annonce accueillie chaleureusement par l’ensemble des passagers.
Fabrice, quant à lui, aborde les divers phénomènes optiques observables, notamment en arctique. Ensuite, c’est Frédéric qui intervient sur le thème du fulmar boréal, cet oiseau pélagique à l’aspect d’albatros (en toute logique car ils sont cousins) qui suit les bateaux, flirte avec les vagues sans quasi le moindre battement d’ailes et dont l’une des particularités est d’avoir une glande de dessalage de l’eau de mer lui permettant ainsi de boire.
Vers 18h, nous voici à l’île Charles XII, du nom du roi de Suède (1682 – 1718). Les zodiacs prennent la mer et rapidement plusieurs groupes de morses sont observés à plusieurs reprises autour de l’île, essentiellement des groupes de femelles accompagnées de leur jeune. En fin de sortie, c’est un renard polaire en pelage d’hiver que l’on aperçoit en maraude à proximité du rivage.
Après le dîner, nous prenons la direction de Foynoya, du nom de Foyn (1809 – 1892), inventeur du canon à harpon pour les baleiniers. Au cours de ce trajet, Christian Kempf, président fondateur de Grands Espaces, intervient devant l’assemblée pour évoquer les notions de Liberté – Égalité – Fraternité en arctique.
Nous arrivons sur site très bientôt, une belle nouvelle journée nous attend le lendemain.
Suivez nos voyages en cours, grâce aux carnets de voyages rédigés par nos guides.
Messages
Un petit coucou à la famille Herodet. Je suis avec attention le voyage de mon petit frère et de sa Lolo.
Chez nous 35° cette après midi.
Gros bisous du Sud de la France
Je regarde ce matin les épisodes de cette belle expédition (et en profite pour rechercher la signification de tous les mots inconnus : saxifrage, driade, eider, serac … petit clin d’oeil à mon papa). Ici, l’ours a les traits de Griotte et le renard ceux de Plum. Une tendre pensée pour mes parents et leurs amis.
Hello Audrey and Dominique !
Hope your trip is going well. Seems so when I see the pictures Audrey shares with us. By the way Dominique, I would greatly appreciate if you could prevent Audrey from taking thousands of pictures… Otherwise I will have to spend hours checking her photobook 😀
Audrey, I am currently working on how to make over the basement for your next visit in my new apartment. Will be great I am sure as I have great taste.
Enjoy the rest of your trip!
See you soon
Claire
Un petit bonjour à Sarah à qui je souhaite une croisière des plus belles possibles
Très bon anniversaire à Michel EGRAZ
Profitez bien de ce voyage qui est un de nos meilleurs souvenirs
Bises de nous tous
De gros bisous à Marie-Pierre et Pascal. Nous suivons vos aventures et on vous envie !
Profitez bien de ces beaux moments, on compte sur vous pour nous restituer toutes ces connaissances à votre retour. Attention, on vous fera peut-être un quiz aussi 😉
Petit message à mes chers parents Hugues et Michèle.
J attends impatiemment que la Toune me donne la signification des mots recherchés 😁
A la lecture je vous devine heureux de profiter de tant de beauté décrite.
Papa j espère que tu as gagné le concours ornitho ! Bises fort