Marie Pellé
Biologiste
13 juin
20 juin 2023
Marie Pellé
Biologiste
Xavier Allard
Arctique
Jean-Marie Seveno
Photographe
Jean Robert Couplet
Fabrice Capber
Guide Polaire
Mariette Jouffroy
Chargée de la production aérienne
Certaines photos d’illustrations ont été prises lors de précédentes croisières au Spitzberg. Lorsque le voyage sera terminé, nous publierons les photos de la croisière. Le manque de connexion internet nous empêche de recevoir les photos en temps réel.
C’est à l’aéroport de Longyearbyen que commence cette aventure de la découverte du Spitzberg pour quelques 60 passagers et leur équipe de guides. En cette journée venteuse et nuageuse de juin, les nouveaux voyageurs venus de France et d’ailleurs ont pu découvrir en autocar les paysages de l’activité minière passée comme actuelle de capitale économique du Svalbard.
En progressant dans la vallée de l’ancien glacier de l’Adventalen, les premiers animaux typiques de l’archipel sont déjà là, comme pour accueillir les visiteurs. En bord de route comme en plein centre ville, les bernaches nonnettes côtoient les eiders à duvet et les rennes du Svalbard se laissent approcher. Un stop à l’église protestante de Longyearbyen plonge les visiteurs dans un mélange de surprise et de curiosité. Avant la montée sur le bateau, l’esprit de l’Arctique est bel et bien déjà là, lorsqu’un guillemot à miroir se balade tranquillement dans le port.
Le début de la traversée permet dès les premières heures d’observer le fulmar boréal, le plongeon catmarin, le goéland bourgmestre, la mouette tridactyle, le mergule nain, ou encore les vols de guillemots de Brünnich.
Après le « drill » (l’exercice de sécurité) sur le pont n°5, les passagers ont pu se réchauffer en dégustant leur premier repas à bord. La présentation de l’équipe, le brief sécurité et la présentation du programme de la croisière ont conclu cette première journée. L’Ocean Nova commence sa route, vers la Découverte arctique.
Après un petit déjeuner copieux, nous commençons l’aventure par une croisière zodiac dans un brouillard mystique. Nous découvrons un magnifique glacier de 7 km de longueur avec des nuances de bleus à couper le souffle que nous longeons pendant 2h.
De retour à bord de l’Océan Nova, le repas nous y attend. Le velouté à la noix de coco tombe à pic! Nous le dégustons. Mariette, Arthur et Marie L. nous attendent ensuite au salon panoramique avec la boutique des produits dérivés de Grands Espaces, que nous avons pu immédiatement tester dès l’après-midi.
En ce 14 juin, nous partons découvrir la baie du 14 juillet! Au programme, promenade le long de la plage au pied du glacier suivi d’une balade zodiac. Un renard est aperçu pendant que l’équipe prospecte la zone avant notre arrivée. Des rennes surplombent la plage pendant que nous débarquons.
Notre cheffe d’expédition Marie nous parle des rennes en nous présentant un bois qui avait été abandonné par un grand mâle. Pendant qu’un couple de labbes se promène, des bernaches nonnettes prennent un petit bain devant nous.
Il est temps de faire demi-tour pour remonter sur les zodiacs afin d’aller voir de plus près le glacier. Le ciel se dégage et laisse la place au soleil qui nous illumine le glacier par son blanc immaculé. En l’observant de plus près, nous relevons des endroits qui ont indiqué qu’un vêlage s’était probablement produit quelques minutes avant notre arrivée.
De retour au bateau, Adrian, notre hôtel manager, nous donne des conseils de la vie à bord suivi par Fabrice qui nous fait un recap’ sur les observations de la journée. Notre capitaine nous a fait la surprise de venir nous retrouver au salon panoramique pour nous souhaiter la bienvenue à bord et trinquer avec nous.
Mais rapidement on l’appelle, il doit retourner à la passerelle. La mer se forme doucement. Marie prendra la relève en nous présentant le programme du lendemain. Il est temps de descendre dîner.
Émerveillés par cette première journée de découverte, nous partons tous nous coucher et rêver de nos futures observations.
Cette quatrième journée a été un concentré d’émerveillement, les passagers ont eu la chance et l’honneur de contempler des espèces majestueuses, avec comme point d’orgue le roi des lieux, l’ours. De mémoire de guide, l’observation qui signe le début de cette journée, a été « l’une des plus belles depuis des années« . Au nord du Raudfjord, longeant la banquise en débâcle, un jeune ours mâle a été observé se pavanant fièrement. Ce jeune mâle a frappé l’esprit de l’ensemble de l’équipage par sa curiosité et son tempérament aventureux, celui-ci n’a cessé de s’approcher du bateau, attiré par notre présence. Une observation magnifique, annonçant une journée pleine de découvertes.
À la suite de cette rencontre, notre guide Fabrice a fait une conférence sur l’ours polaire, présentant ses aptitudes et qualités de super-prédateur. Notre orateur a évoqué l’importance de la préservation de cette espèce encore trop sujette au braconnage. Comme ponctuation, un rorqual a surgi, laissant apparaître le temps d’un coup d’œil, sa crête dorsale avant de disparaître dans l’immensité de l’océan Arctique.
En conclusion de cette matinée, une sortie zodiac a été organisée pour s’imprégner de la beauté de la banquise. Un phoque annelé est apparu, venant effleurer les eaux.
Après le repas, un temps libre consacré à l’observation a permis aux voyageurs d’observer un phoque barbu se prélassant sur un petit iceberg.
Ce temps libre a aussi été marqué par le franchissement du 80ème degré de latitude nord, tout un symbole !
Pour la seconde sortie de la journée, notre cheffe d’expédition Marie a organisé un débarquement sur une plaque de banquise. Ce fut l’occasion de boire un bon chocolat chaud parmi les flots.
Après le dîner, les voyageurs repus par une journée riche en découvertes ont été conviés à une dernière observation. Une femelle ours et son petit ont été repérés en mouvement au fond du Raudfjord. Les spectateurs postés sur la plateforme d’observation ont assisté à l’excitation juvénile du jeune ours, sautant dans l’eau. Le miroir aquatique du Raudfjord a offert une perspective unique, signant en beauté la fin de cette journée.
Aujourd’hui, le Spitzberg a donné une belle leçon aux voyageurs de l’Océan Nova. Les étendues sauvages et inhospitalières sont en réalité un écrin de biodiversité, avec un nombre important d’espèces végétales et animales.
Il est maintenant l’heure d’aller nous coucher, sous un merveilleux soleil de minuit éclatant…
La journée d’hier a été très riche, tant en rencontres qu’en émotions. Qu’il s’agisse de l’ours solitaire du matin ou de la femelle suitée en soirée, nous avons été comblés. Qu’en sera-t-il d’aujourd’hui ? La réponse ce soir.
Nous nous levons avec un grand soleil. La mer est d’huile et le thermomètre annonce 5°C. Nous nous situons à 79°48′ de latitude Nord à Kvitsundet.
À notre habitude, nous profitons des superbes panoramas de l’Arctique avant de prendre notre petit-déjeuner servi à partir de 8h. Une fois repus, nous enfilons nos tenues d’explorateurs polaires et embarquons par groupe de 10 dans les zodiacs. Nous mettons le cap sur Sally-Hamna. Il s’agit d’un site où se trouve une ancienne cabane de trappeurs. Ici, les renards faisaient le bonheur des chasseurs au cours du 19e siècle.
L’objectif initial était de marcher et de visiter les environs. Cela étant, nous ne pouvons débarquer en raison d’une couche de neige bien trop importante. Nous distinguons des amoncellements de pierres à proximité de la cabane : nos conducteurs de zodiac nous apprennent qu’il s’agit d’anciens fours de baleiniers datant du 17e siècle qu’ils utilisaient pour faire fondre la graisse des cétacés ; le résultat servait, entre autres, à des usages cosmétiques (savon) ou d’éclairage.
Nous poursuivons en longeant la rive et apercevons quelques phoques barbus à l’eau, ainsi que des eiders à duvet. Un peu plus loin, nous avons la chance d’apercevoir un groupe d’une quinzaine de bélougas reconnaissables à leur couleur jaunâtre. Nous restons à distance pour ne pas les déranger, et ce durant 30 à 40 minutes.
Vient l’heure du déjeuner… nous n’avons pas vu la matinée passer. Durant le repas, l’Ocean Nova reprend sa navigation et se dirige vers la mythique Baie de la Madeleine située à 3h de route. Entretemps, les mordus de photographie bénéficient d’un atelier dispensé par Jean-Marie, le photographe du séjour. Il nous apporte ainsi de nombreux conseils pratiques qui vont nous servir pour réussir nos prises de vue. Arrivés sur site, les zodiacs sont instantanément mis à l’eau et nous effectuons 2 groupes.
Le premier se dirige vers Gully-bukta, un petit fjord qui se trouve à l’entrée de la baie. À l’amorce de la plage, nous distinguons un groupe de morses aussi imposants qu’odorants. Ces animaux de plus d’une tonne se nourrissent de mollusques… les relents de nourriture se font sentir jusqu’à nos narines au point d’en laisser un souvenir indélébile. Ils sont environ une quarantaine et se prélassent au soleil tels des aoûtiens à La Grande Motte !
Dans le même temps, le second groupe se dirige vers le fond de la Baie de la Madeleine et s’arrête à hauteur d’une colonie de mergules nains, le plus petit des alcidés présents au Svalbard et l’oiseau le plus abondant de l’archipel. Malgré sa petite taille, il est aisé de le repérer car il niche en colonie et s’avère être très bruyant. Un peu plus loin, à hauteur d’une lagune, ce sont des phoques veaux-marins qui se laissent observer.
Lorsque les observations sont terminées pour les deux groupes, les rôles s’inversent pour que chacun puisse admirer la faune locale. Arrive le temps du dîner qui démarre vers 19h30. Nous terminons la soirée par un récapitulatif de la journée ainsi qu’une présentation du programme de demain.
En début de journée, nous nous interrogions sur la grandeur de la journée. Les merveilles de la nature ont eu raison de notre interrogation… vivement demain.
Notre cheffe d’expédition annonce le réveil. Nous sommes au mouillage devant la falaise d‘Ossian Sarsfjellet.
Il fait 5°C, grand beau temps. Le ciel est limpide. Une légère brise balaie la baie du Roi.
L’objectif de ce matin est à portée de zodiac pour une belle randonnée jusqu’au sommet de la falaise, nichoir des mouettes tridactyles.
C’est la nidification, un balai incessant de mouettes fait des allers-retours entre les nids et la toundra peuplée de rennes. Les volatiles reviennent avec des quantités impressionnantes de débris végétaux pour leur point de ponte. Les renards sont assez discrets aujourd’hui. En revanche, nous pouvons observer la parade nuptiale des lagopèdes.
Une partie des passagers fait une croisière zodiac le long de la côte. La vue sur les 3 couronnes est exceptionnelle aussi bien depuis la mer que pour les marcheurs.
Après une brève navigation, l’après-midi est consacrée au site de Ny London. Le mieux conservé de tous les Spitzberg d’avant la Seconde Guerre mondiale.
C’est riche et passionnant. Notre guide Xavier fait les recommandations d’usage pour les règles de conservation de ce musée à ciel ouvert, puis présente le site étape par étape. Notre guide Elodie clôt les explications par l’explication géologique de la carrière de marbre.
Nous découvrons les vestiges de la voie ferrée, les chaudières à vapeur, les huttes et tout un ensemble de mobilier historique varié, conservé en l’état depuis un siècle. L’histoire de cette exploitation éclairante, onéreuse et infructueuse est étonnante.
Un groupe de marcheurs part explorer la toundra et peut apercevoir les rennes et les eiders en nidification. L’autre partie du groupe de passagers approfondit la visite des installations.
Un couple d’Harelde boréale reste tranquillement dans la baie, à quelques mètres des zodiacs.
Le temps est venu de retourner à bord pour le récapitulatif de la journée et le barbecue traditionnel sur le pont extérieur.
L’Ocean Nova a navigué toute la nuit pour nous emmener vers le sud du Spitzberg en contournant par l’ouest, puis le sud, la longue île du Prince Charles, puis en remontant vers un site dénommé Sarstangen à 78°40′ de latitude nord, non loin du glacier d’Aavatsmark devant lequel nous stationnons.
Le temps est brumeux et il pleut. Nous voulions débarquer sur le site, un long banc de sable sur lequel des échoueries de morses sont habituelles, mais les conditions météorologiques ne nous le permettent malheureusement pas.
Pendant que l’Ocean Nova se déplace vers un endroit plus abrité dans le fjord de Saint Jons au sud, Fabrice et Elodie nous parlent de morses et de charbon respectivement.
Nous apprenons beaucoup de choses quant à la vie de cet incroyable mammifère des contrées arctiques, notamment concernant ses modes d’alimentation et de reproduction très particuliers.
L’histoire du charbon au Spitzberg est passionnante, nous comprenons mieux pourquoi il a été exploité ici depuis le début du 20e siècle, et pourquoi également la plupart des mines sont désormais fermées.
En fin de matinée, la météo s’est améliorée, la navigation entre l’ouest de l’archipel du Spitzberg et l’est de l’île du Prince Charles offre un défilé de reliefs découpés enneigés typiquement svalbardiens.
Les ventes de la boutique et la présentation du programme de l’après-midi par notre cheffe d’expédition Marie nous mènent tranquillement vers le déjeuner.
L’après-midi, un débarquement à pied ainsi qu’une croisière en zodiacs nous sont proposés au bout de ce fjord de 21 km de long devant le glacier d’Osborne. La croisière en zodiac permet aux participants de réviser ce qu’ils ont appris depuis le début du séjour : glace de terre, banquise de fjord, front de glace, vêlages, brash, bourguignons et icebergs n’ont plus de secrets pour eux.
Une observation peu commune de phoques communs, ou veaux-marins, nous interpelle. En effet, ce sont six phoques qui se reposent sur de la banquise de fjord. Ce phoque n’est pas typique de l’Arctique, on le retrouve aussi sur les côtes françaises généralement sur des plages ou des rochers. Le Spitzberg est la zone la plus septentrionale où l’on peut observer cette sous-espèce du phoque veau-marin.
De belles roches côtières lissées par le retrait du glacier jalonnent notre parcours. Un phoque annelé est venu nous faire un clin d’œil en fin de sortie.
Quant aux marcheurs, une montée continue le long d’une crête leur offre un point de vue grandiose sur l’ensemble du fjord et du glacier d’Osborne. La flore, les roches et les animaux observés sont expliqués par les guides. Des saxifrages à feuilles opposées et des pédiculaires hirsutes sont les premières plantes à fleurir en cette fin de printemps.
Des rennes et des lagopèdes alpins sont également observés comme lors de notre sortie à terre à Ossian Sarsfjellet. En tout cas, cet endroit peu visité nous a accueillis en VIP, nous avons bien profité de ce privilège !
La soirée se poursuit par une présentation de Jean-Robert sur les glaciers et du programme du lendemain par Marie, notre cheffe d’expédition, programme qui concerne déjà le dernier jour du voyage en ces terres isolées et froides si enivrantes.
Après le dîner, notre cheffe d’expédition toujours, nous parle des alcidés du Spitzberg, ces pingouins que nous avons pu observer tout au long de la croisière : guillemot de Brünnich, mergule nain, guillemot à miroir et macareux moine.
Après ses explications, plus personne ne confondra manchots et pingouins ! La soirée se termine par la projection d’un film sur la vie de Claude Lorius. Cet éminent glaciologue décédé cette année est un précurseur des études sur le climat par l’analyse des gaz présents dans les carottages de glace qu’il a extraits de la calotte antarctique pendant des années, à partir des années 1960.
Skansbukta – Dicksonfjord
C’est dans un temps brumeux que notre cheffe d’expédition nous réveille. Nous avons navigué durant toute la nuit pour atteindre l’Isfjord. Marie nous annonce que les conditions météorologiques nous empêchent le débarquement à Borebukta.
C’est à 9h30 que nous retrouvons Marie Larivière qui nous propose une conférence sur les cétacés. Grâce à elle, nous apprenons l’histoire de cette famille de mammifères marins et les différentes espèces qui la composent ainsi que leur mode de vie. Durant cette présentation, l’Ocean Nova s’est repositionné dans la baie de Skansbukta.
Les conditions se sont améliorées, la brume s’est dissipée, ce qui nous permet un débarquement en milieu de matinée.
Arrivés à la plage, nous découvrons un paysage de hautes falaises en forme de château. Nous partons découvrir ce milieu et Xavier nous propose de faire une lecture de paysage. Nous observons cette baie pour essayer de comprendre la raison des différents éléments qui la composent, ce qui permet un moment d’échange et de réflexion avec notre guide.
Puis nous continuons la découverte de cette baie sous les explications d’Elodie, qui nous explique la formation géologique et la découverte d’un gisement de gypse au début du XXème siècle. Elle nous donne également des informations sur l’intérêt et l’utilisation d’une telle roche. Nous terminons notre balade dans les pas de Fabrice qui nous emmène jusqu’à une ancienne hutte de trappeur où nous pouvons observer les différents équipements utilisés pour trapper les différentes espèces du Spitzberg.
La matinée se termine et nous repartons en direction du bateau. Nous reprenons immédiatement la navigation en direction du Dicksonfjord. Durant la navigation, Xavier nous propose une conférence sur l’histoire des baleiniers au Spitzberg. Après cela, nous comprenons mieux pourquoi les populations de baleines ont fortement diminué dans l’Arctique.
Et c’est en milieu d’après-midi que nous partons pour notre dernière expédition en zodiac dans le fond du fjord. Nous embarquons puis filons en direction de plaques de banquise de fjord dérivantes. Nous zigzaguons entre ces plaques de glace et pouvons observer quelques phoques annelés et barbus. Certains d’entre eux se laissent approcher. Le temps passe, il est déjà plus de 18h30, nous réembarquons sur l’Ocean Nova.
À peine le temps de nous déséquiper que nous sommes attendus pour le verre du commandant. Nous trinquons à ce magnifique voyage. Après le dîner, Jean-Marie et Fabrice nous présentent les résultats du concours photo, un récapitulatif en images de la croisière et un résumé des belles rencontres que Fabrice a pu vivre durant sa carrière.
Dernier réveil à bord de l’Ocean Nova, nous prenons notre dernier petit-déjeuner puis nous sortons nos bagages et visitons une dernière fois Longyearbyen. Nous en profitons pour acheter quelques souvenirs avant de rejoindre l’aéroport. Le vol retour est à l’heure et nous offre une vue dégagée sur l’Adventalen et ses montagnes tabulaires encore enneigées. Puis nous passons au-dessus des nuages et commençons déjà à nous remémorer tous les bons moments vécus au cours de cette croisière, à rêver aux paysages merveilleux de l’Arctique et qui sait, à de futures aventures polaires ?
Suivez nos voyages en cours, grâce aux carnets de voyages rédigés par nos guides.
Messages
Profites un maximum de cette belle expérience et aussi beaucoup de photos ….. tu sais faire👍
Bises de France
Une pensée particulière pour Lysiane et Willy… je vais vous suivre pas à pas… faites de belles découvertes, engrangez des souvenirs inoubliables et ramenez nous des photos originales… bon voyage à tous
D’après le résumé de la journée, ton appareil photo a dû être sollicité !
Je te souhaite de superbes découvertes.
Bises.
Véronique
Pour Mireille,Francine et Xavier,comme promis nous suivons votre croisière, qui nous remémore la nôtre 😍
Profitez en bien les amis
Grosses bises normandes bien ensoleillées ☀️
wouah, super moments, profite bien de cette découverte.
Pour nous c’est toujours la chaleur.
bisous.
Claudine
Bravo pour les commentaires c’est comme si j’y étais et me réjouis De partager les émotions de ma fille Francine et de mon amie Mireille à leur retour, excellente continuation bravo à l’équipage
Les commentaires font rêver… Tu dois avoir des étoiles dans les yeux !
Quel voyage !…
Profite du froid, ici nous avons 30 degrés.
Bises
Véronique D
A Mireille G.
Coucou Mireille ! Nous suivons ton périple avec attention et envie ! Cela a l’air magnifique ! On se réjouit que tu nous racontes! Profite bien des dernières jours, nous t’embrassons bien fort !
Bonjour Alain et Bich Thuy d’une Floride chaude et ensoleillée, USA. 🙂
je suis ton parcours ! quel paysage spectaculaire! Profitez de votre temps précieux et inoubliable à coup sûr!