Bruno Guégan
Grand Nord
22 mai
1 juin 2018
Mai 2018
Bruno Guégan
Grand Nord
Jour de tempête en Islande, nous avons pu admirer la dextérité de notre pilote qui a posé son appareil comme une feuille alors que le vent soufflait en rafale et que d’énormes vagues déferlaient sur la côte. Ce vent bloquait les soutes et nous avons dû attendre plus d’une heure que ceux-ci arrivent… Petit aléa du voyageur ! Les cent mètres qui séparaient l’aéroport du bus nous ont permis d’apprécier ce temps islandais dans un air vivifiant. Le diner, dans le port, compensa chaudement cet accueil un peu réfrigérant.
Ce matin, un petit tour dans Reykjavik et nous nous dirigeons plein Est, en traversant les quelques zones de cultures sous serres de l’Islande, longeant des prés parcourus par les fameux chevaux Islandais, et où de nombreux cygnes sauvages paradent pour choisir leurs compagnes. C’est vers 11h que nous arrivons aux cascades majestueuses de Gulfoss. Promenade sous les embruns, avec en arrière-plan un majestueux glacier. Puis route vers Geysir, pour un copieux lunch buffet et bien entendu, l’inévitable cérémonial de la photo du Geyser, où le jeu est de coincer la fameuse bulle bleue.
Nous quittons Geysir pour le parc naturel de Thinvellir, où se rassemblaient les Vikings, considéré comme l’un des premiers parlements en Europe. L’occasion de raconter l’histoire islandaise des Vikings et de leur établissement. Le long du lac de Thingvatn, nous observons des plongeons catmarin, des morillons et des oies cendrées, et deux barges à queue noire se laissent observer avec une grande complaisance à moins de 10 mètres de nous. Après une promenade d’une heure à travers ces étonnants paysages, ponctués par les cris des oies cendrées, des courlis et des pluviers. Nous reprenons la route pour rejoindre le Hvalfordur, tristement nommé : fjord des baleines, alors qu’il ne voit que des baleines mortes qui vont à l’équarrissage dans une usine au fond du fjord. Usine que nous apercevrons un peu plus tard le long de la route. Ce fjord est aussi connu pour le rôle important qu’il a joué pendant la Deuxième Guerre mondiale, ici étaient stockées les réserves de matériel à destination de la Russie pour soutenir leur combat contre les nazis. Arrivée à l’hôtel et visite pédestre des environs, une belle vasière nous permet d’observer : chevalier gambette, bécasseau maubèche, grand gravelot, barge à queue noire, Eider à duvet… de quoi rêver toute la nuit !
La tempête a nettoyé le ciel et le volcan de Snaefellsnes est complètement dégagé. Il nous montre une belle calotte blanche qui tranche avec le bleu clair du ciel. Nous arrêtons à un endroit connu des seuls initiés (permettez que l’on tienne le lieu secret afin d’éviter la horde des barbares touristevores), pour voir une colonie d’une vingtaine de phoques. Ceux-ci méditent, allongés sur de gros rochers, et semblent regarder ces drôles de mammifères sur deux pattes, engoncés dans de drôles de peaux, avec un air un peu moqueur. C’est aussi l’occasion, de présenter quelques oiseaux du bord de mer : huitriers pies, bécasseaux maubèche et variable, labbe parasite, tourne-pierre, gravelot… et les parades des eiders à duvet. Nous reprenons notre route et atteignons rapidement Arnastapi, nouvelle promenade de presque deux heures au-dessus de magnifiques falaises en orgues basaltiques, agrémentées de nombreux nids de fulmars et mouettes tridactyles. Le soleil nous accompagne et heureusement, un vent frais nous sauve de la canicule. Le Snaefellsnes borde notre chemin, ce fameux volcan du voyage au centre de la terre de Jules Verne est d’une grande majesté, et il est très rare de le voir ainsi sans son habituel nuage de sommet. Après une bonne soupe bien méritée, nous reprenons notre périple. Nous prenons une petite route jusqu’au phare de la pointe extrême de la péninsule, l’occasion pour notre chauffeur de montrer sa grande dextérité sur une piste étroite et chaotique ce qui lui valut une ovation générale, une vraie piste Islandaise ! Au phare nous attendent à nouveau de grandes quantités d’oiseaux, fulmar, mouettes, guillemots ,pingouins Torda, fou de Bassan. Il est l’heure de faire route vers notre hôtel situé sur la côte sud de la péninsule, juste quelques arrêts, là pour observer de nouveaux oiseaux dont le célèbre phalarope à bec étroit, et ici pour admirer un livre ouvert de géologie que constitue le mont KirKufjel. À notre hôtel, des chevaux islandais nous attendent pour le plus grand plaisir des photographes. Une balade après le diner au son des bécassines des marais, des pluviers, des barges à queue noire, accompagnés par le chant des signes, terminera cette journée…
Aujourd’hui, journée de transfert de l’ouest vers l’Est et c’est d’abord le franchissement par une jolie piste de la péninsule de Snafellsnes, puis la piste le long du Breidafjord, encombré de milliers d’îles qui permirent à Éric Le rouge de construire clandestinement son landskip après avoir été banni de l’Islande. Il put aller, ainsi, s’installer au Groenland. Dans le fond du fjord, nous passons la vallée de la maison d’Éric le Rouge. Une piste à travers la montagne, bordée de moutons et de cygnes nous permet de rejoindre le Hrutafjord, célèbre pour ses anciennes conserveries de pêche. Déjeuner dans le joli port de Hvammastangi, capitale du phoque islandais, et à nouveau route sur la grande nationale 1. Nous atteignons le hameau de Glaumbaer où nous visitons un écomusée installé dans une des rares fermes conservée en l’état et qui fonctionnait encore en 1947. Nous reprenons la nationale pour franchir un dernier col de 480m, entouré de montagnes magnifiées par les neiges récentes. Petite halte à Akureiri, la capitale du nord, et nous arrivons à notre hôtel le long du fjord. Longue journée de transition vers l’Est, 100 km de piste heureusement en bon état, et 250km de route, bordée de paysages grandioses, accompagnés par les quatre saisons dans la journée.
Nous partons pour une longue journée nature, d’abord un bel arrêt à Godafoss, la chute des Dieux. Puis, c’est le début d’une véritable initiation à l’ornithologie sur la Laxa, rivière déversoir du lac de Myvatn, le bien nommé lac des mouches. Arlequin plongeur, garrot d’Islande, harelde Boréal, phalarope à bec étroit… De quoi faire pâlir l’ornithologue le plus averti. Nous ferons un agréable repas dans une auberge typique où nous côtoyons les vaches ! Enfin, nous commençons la découverte des spécificités géologiques locales, les falaises ruiniformes noires de Dummibogir, une longue promenade d’une heure sur le volcan Kviti dont le cratère est exceptionnellement gelé et ses coulées de lave encore chaudes, ainsi que les solfatares de Narmafjall. Le bain chaud est bien mérité pour 6 de nos vaillants aventuriers, alors que les autres révisent leur ornithologie le long du lac, avec en prime les parades d’un beau plongeon Imbrin, accompagné par le chevrotement des bécassines des marais.
Ce soir, buffet à volonté et promenade sur les pseudo cratères du sud du lac, avant un bon repos bien mérité (et même un peu attendu) dans un hôtel avec vue sur le lac. Les plus courageux cherchent le hibou des marais, lieu de résidence de cet oiseau en Islande, la consigne est de revenir avant la nuit (c’est-à-dire fin août…).
Après une bonne nuit, bercés par les seuls chants des oiseaux, nous faisons route vers Dettifoss, la plus puissante cascade d’Europe que nous atteignons après une petite promenade pédestre, le temps d’admirer ce spectacle aqua-terrestre, puis nous traversons une partie de l’immense désert de cendres, pour rejoindre Husavik (la baie de la maison) où nous attend notre petit bateau de pêche en bois pour 3 heures de whales watching. Nous allons rejoindre la zone propice aux activités des baleines. Ce sont une mère et son petit qui fait déjà plusieurs tonnes, qui font le spectacle en se laissant approcher à quelques mètres, permettant ainsi d’apercevoir leurs grandes nageoires blanches latérales avant de surgir et « rugir » dans un même souffle, quelques respirations et une plongée, puis retour vers le bateau. Après être restés un long moment en leur présence, nous pouvons aussi admirer macareux, fulmars, guillemots à miroir et bien entendu les éternels goélands. Trois heures de bateau qui passeront vite et il est déjà temps de regagner notre hôtel situé au milieu des marais. C’est une ancienne école transformée en hôtel, le confort sans le luxe, mais le reflet d’une vie d’Islandais, notre guide nous donne la permission de minuit avec l’air un peu narquois…
Nous commençons notre journée dans les pas du cheval d’Odin, à Asbirgi, magnifique cirque surmonté de grandes falaises où logent fulmars et grands corbeaux. Alors que dans la forêt résonnent les champs des très nombreuses bécassines des marais. Puis nous partons découvrir l’Islande pittoresque et malheureusement pauvre, un univers de petits villages de pêcheurs dont bien des maisons sont abandonnées, ou en très mauvais état. L’Islande profonde, loin des circuits touristiques. La piste, située le long de la mer et bordée par des milliers d’oiseux, est difficile et nous n’atteindrons le lieu de déjeuner qu’à 13h. Mais la récompense est là, un restaurant atypique et très mode « pub écossais », où nous sera servi un repas copieux. Nous repartons sur la route longeant encore des petits villages et des « fermes » à eiders qui montrent que parfois l’homme entretient des relations cordiales avec des espèces dites sauvages. Un arrêt à une cascade et une promenade jusqu’à la mer nous permet de nous imprégner de cette ambiance de bout du monde. Nous sommes sur la piste qui passe par la montagne pour aller à Egistadir, 15 km de pente oscillant entre 14 et 15 %, occasion de voir notre chauffeur(e) à l’œuvre dans ce bel exercice de conduite en montagne sur une piste, de 0 à 650 m en 15 km. Le paysage ensoleillé explose à nos yeux quand nous redescendons et une petite halte est la bienvenue pour les photos. En résumé une journée Islandaise authentique, pluie, vent, mais aussi soleil et incroyable luminosité de quoi rêver cette nuit.
Pour compenser la fatigue des derniers jours, départ vers 9h, tranquillement vers la côte sud de l’Islande. Nous guettons les rennes qui doivent être dans cette région et faisons un arrêt photo dans la vallée de Reyjafjordur, avant de prendre un long tunnel, alors que notre guide nous rappelle le nombre de secousses sismiques de ces dernières 48h soit plus de trente (humour noir de notre guide). Nous arrivons au fjord dit des Français, souvenir des pêches aux cabillauds. Nous allons d’abord visiter le cimetière français, douloureux rappel des souffrances de ces hommes dans leur dur métier. Puis, nous visitons, accompagnés par une Islandaise, le musée du marin, très récent, petit, mais très émouvant et bien conçu. Cette visite s’est terminée à la chapelle, en accompagnant notre Islandaise dans son répertoire de Piaf. Déjeuner à Breidavik , puis route vers Höfn, avec un long arrêt pour découvrir une plage de sables noirs de plus de 30km de long. Les poches sont lourdes de pierres , coquillages, « papillons » de coquillages… nous aurions pu comme des enfants rester des heures sur cette plage. À Höfn, nous découvrons les réserves naturelles, où nichent notamment des centaines de sternes arctiques. Diner dans l’euphorie d’un beau voyage, l’appétit est bon, tout comme les plats qui nous sont servis. Demain d’autres aventures nous attendent et pour ce soir à 9h30, tout le monde goute un repos mérité !
Amazing Iceland ! Une journée où nous empruntons des moyens de locomotion plutôt inattendus. Avant tout c’est la visite du célèbre lagon de Jokusarlon en engin amphibie, une petite découverte du monde des glaces de quoi donner aux passagers l’envie de s’inscrire aux croisières Spitzberg et Groenland de Grands Espaces. Puis visite d’une immense joaillerie, des « glaçons » où « bourguignons » de toutes les tailles sur fond de moquette de sables noirs, s’exposent au soleil en présence de sternes, grands labbes, arlequins plongeurs, eiders…. Amazing ! ! Nous serons plus de 3 heures sur le site et nous y serions bien resté encore très longtemps…
Puis nous allons déjeuner près d’un autre lagon avant de nous retrouver dans une charrette tirée par un tracteur. D’abord une longue traversée sur une plage sans fin où l’horizon se confond avec les mirages marins, puis une montée pédestre par une dune de sable sur l’île d’Igolfjoldur du nom du premier Viking à s’être installé en Islande. Les grands labbes en nombre nous accueillent, deux par deux, ils ignorent notre présence ou nous font sentir qu’ils sont ici chez eux, et qu’il ne faut pas les déranger. Plus loin, c’est un macareux qui nous accueille et qui se laisse approcher à moins de dix mètres pour le plus grand plaisir des photographes. Nous faisons le tour de l’île accompagnés par les oiseaux nombreux et en paix sur cette réserve. Et c’est à regret que nous revenons sur notre chemin, 3 heures encore de plein air qui nécessiteront une petite pause « chocolat café » avant de reprendre la route. Un petit arrêt près d’un monument naturel, de splendides orgues basaltiques ressemblant à des ruines de temple romain. Et enfin notre hôtel bien mérité : Le Laki , au pied du Laki, célèbre volcan à qui certains attribuent une part de responsabilité à la Révolution française.
Encore une nuit de plein soleil : celui-ci trouble notre paisible hôtel, où nous avons du mal à ne pas être perturbés par ces lueurs « noctidiurnes ». Nous roulons vers Vik alors que les sommets enneigés bordent notre route. À Vik, long arrêt, les uns pour des photos le long de la plage, les autres en profitent pour faire quelques achats dans la fabrique de vêtements Islandais. Nous repartons pour découvrir un magnifique site d’orgues basaltiques, le long de la mer, improbables constructions bordant de grandes grottes d’anciens tunnels de lave. Déjeuner dans le site de Sokgarfoss, avant une promenade de plusieurs heures en longeant le torrent de la cascade de Skogar, puis douche volontaire sous la cascade en admirant les arcs-en-ciel formés par la variation des embruns de la cascade et du soleil.
Puis, nous nous dirigeons sur le site de Seljalandsfoss, où nous nous sacrifions au rite du passage derrière la cascade et une nouvelle fois, nous prenons une copieuse douche, mais quel spectacle cette masse d’eau qui chute dans un bruit assourdissant en voiles successifs. Nous reprenons notre route et longeons les endroits rendus célèbres par la dernière éruption volcanique de l’Eyafjoll et non de l’Eyafjalajokul, nom donné au volcan par erreur (pour en savoir plus, inscrivez-vous au prochain voyage !) Sur notre route, nous nous arrêtons à un lieu magique au milieu d’un grand delta de rivière, le reste d’une montagne où niche le grand corbeau. Un dernier arrêt pour quelques photos de chevaux et notre hôtel est là, prêt à nous accueillir pour un repos bien mérité au son des bécassines des marais, barges, huitriers, oies et biens d’autres volatiles.
Ce sont les îles Westman que nous apercevons de notre hôtel et qui nous attendent dans une brume de chaleur agréable dès le matin. Route donc vers le ferry, bordée de grandes plaines, reliques des coulées de lave de l’Hekla, nous pouvons voir le cône blanc de ce grand volcan, considéré comme le plus dangereux de l’Islande, car explosif. Une splendide traversée nous mène aux îles. Là, un bus nous attend pour une visite de deux heures autour de cette île à l’histoire si mouvementée (là aussi, inscrivez-vous au prochain départ pour en savoir plus). Sur la route et en bord de côte, nous croisons… un éléphant ! Non, nous n’avons pas abusé de brédivine, le célèbre alcool local, ce n’est qu’une sculpture naturelle d’orgues basaltiques. Halte au cap le plus au Sud, d’où nous pouvons voir l’île de Surtsey qui sortit de l’eau il y une quarantaine d’années et qui est une réserve naturelle, un cas intéressant de naissance d’une nouvelle terre. Une petite halte à une hutte d’observation pour observer les macareux, mais dont la plupart sont en mer, au pied de la falaise. Retour par le kirkfeld et l’Helfeld, les deux derniers volcans qui ont marqué cette île en 1973 et que seul, le courage et l’inventivité des Islandais a pu éviter de boucher ce port stratégique pour la pêche Islandaise. Une promenade individuelle autour de cette île en attendant le ferry, et nous revoilà pour le retour sur le continent pour la route vers Reykjavik. Un diner dans le célèbre restaurant de Laerbreka et ainsi se termine notre périple autour de l’Islande.
Ce voyage nous aura permis de faire plus de 2450 km en Islande, de visiter tous les principaux sites, en dehors de la zone intérieure. Avec un temps très variable, mais n’ayant jamais contrarié nos différentes promenades et encore moins la bonne humeur du groupe.
Suivez nos voyages en cours, grâce aux carnets de voyages rédigés par nos guides.
Messages
Bonjour,
Serait-il possible de passer le bonjour à Viviane et Dominique qui font actuellement le circuit en Islande. Nous étions ensemble pour la Croisière Groenland en Septembre dernier et avons un souvenir particuliers pour l’Islande.
Viviane, Dominique nous vous envions, profitez un maximum des paysages somptueux que nous offre cette magnifique Islande…et embrassez bien les macareux moines pour nous…juste un bec ?
A tout bientôt
Babeth et Vincent….les annéciens
Bonjour à vous,
les salutations ont été transmises !
Avant le départ, nous avions retenu le mot clé = « flexibilité », à appliquer à la météo et aux Islandais. A l »exception près (porte de la soute bloquée par une mini tempête à notre arrivée pendant une heure), ce sont les conditions météo et les Islandais qui se sont adaptés à notre flexibilité.
Un voyage « inoubliable », qualificatif maintes fois entendu.
La météo était de la partie : deux ou trois demi-journées avec léger crachin, mais pas de quoi être mouillé. Volcans et glaciers vus sous un grand soleil.
Les paysages étaient au rendez-vous : originaux, impressionnants et bien choisis par notre guide.
L’hébergement et les repas étaient de haute tenue. Même si l’on n’entreprend pas ce genre de voyage avec ces objectifs, cela entretenait la bonne humeur.
Les Islandais ont donné des leçons de simplicité, de bonheur, de gentillesse, de gaité.
Les oiseaux (pour les ornithologues, anciens, débutants et photographes ont mis beaucoup de bonne volonté en se laissant approcher à quelques mètres.
L’ambiance du groupe, partie de l’humour et de a convivialité, s’est transformée peu à peu en amitiés.
Le guide, enfin, a été de tous les sommets grâce à sa connaissance parfaite du pays. Un grand merci à Bruno.
Bonjour, Christian et moi tenons à faire part de notre immense satisfaction quant à ce voyage :petit groupe convivial, bus confortable conduit par une jeune Islandaise chevronnée et très aimable, programme savamment dosé entre circuits en bus, visites organisées et marches (voire grimpettes!). Nos hôtels étaient confortables et le plus souvent isolés en pleine nature, et les petits restaurants pittoresques nous ont surpris par la qualité et la générosité de leurs repas.
Bruno nous a conduits de découvertes en émerveillements, en des lieux parfois inconnus des tour-opérateurs, en partageant sa profonde connaissance de l’Islande et de ses habitants (humains et ailés…) dans un climat détendu et amical. Nous lui sommes très reconnaissants!