15 août
26 août 2017
À bord de l’Ocean Nova, du 15 au 26 août 2017
L’avion vient d’atterrir à Longyearbyen et une visite de la vallée s’impose, surtout pour les non-initiés qui ne connaissent pas l’histoire ou la géographie de la région. C’est l’occasion de localiser le site de la banque mondiale de semences végétales, ainsi que les diverses entrées de mines de charbon (dont la particularité est de posséder des galeries à flanc de montagne). Liberté est laissée aux passagers de visiter la ville avant d’embarquer vers 17h.
Sur l’Ocean Nova, il est décidé de naviguer par le sud en raison des vents de nord ouest, assez forts, annoncés pour demain. Le programme est donc modifié d’emblée en fonction de la météo. Un brouillard moyen accompagne la progression.
Ce matin, une brume accusée laisse deviner la base des montagnes du fjord de Hornsund.
Nous nous engouffrons dans le fjord étroit de Austre Burger Bukta afin de nous protéger du vent et avec l’intention d’atteindre le front glaciaire. Sur les versants verdoyants, fertilisés par les fientes d’oiseaux, 4 jeunes renards polaires espiègles se poursuivent régulièrement sur la crête. Plus loin, de jeunes goélands bourgmestres se reposent sur un rocher. Nous louvoyons autour de plusieurs icebergs bleutés tandis que les vagues et le vent frais nous rappellent que nous sommes réellement sur le terrain, en région arctique, et non confortablement assis, au chaud devant un téléviseur, une tasse de thé à la main ! Les passagers prennent connaissance de milieu si particulier et fascinant à la fois.
Après le repas, randonnée sur le bord du Samarinbreen, au sud de Hornsund. Fabrice repère un ours polaire endormi sur des glaçons au-devant du front glaciaire. Le glacier lâche subitement un gros pan de glace qui vient remuer la mer dans un fracas étourdissant… L’ours se met à l’eau et remonte sur d’autres glaçons. Retour sur l’Ocean Nova où nous effectuons une approche, jusque 70 m ! En soirée, une baleine à bosse se manifeste à portée convenable du navire, au-devant des montagnes enneigées.
Ce matin, réveil brutal avec l’annonce dès 5H23 : des baleines sont aperçues devant le navire. Nous venons de passer le cap sud durant la nuit et remontons doucement par l’est du Spitzberg. Un minimum de 50 rorquals communs et aussi quelques petits rorquals se nourrissent de façon dispersée en mer. On aperçoit parfois jusqu’à 10 souffles en même temps en diverses directions et des animaux longent à plusieurs reprises le bateau puisque le commandant s’arrange pour dévier la trajectoire lorsque plusieurs animaux sont vus ensemble. On aperçoit donc sans difficulté la dissymétrie au niveau de la coloration des mandibules inférieures du rorqual commun.
Une fois rendus au Hambergbreen nous allons visiter en zodiac le front du glacier qui a reculé de 5 km en 10 ans ! La distance du front est de 9 km et nous assistons à divers vêlages durant le parcours.
L’après-midi est dévolu à une marche dans la toundra de Kvalvagen où nous attendent les plantes arctico-alpines : saxifrages, saules arctiques, renoues vivipares, oxyries à deux styles et autres se laissent admirer tandis qu’un couple de labbes parasites nous surveille attentivement. Plusieurs bandes de bernaches nonnettes et d’oies à bec court survolent le site. Une conférence sur les baleines et un récapitulatif résument la journée.
Cette nuit, l’Ocean Nova a navigué jusque Discobukta mais les conditions empêchent une sortie zodiac. De ce fait, nous nous rabattons sur un site à proximité du Kapp Lee, pointe nord ouest de l’île Edgeoya. Un groupe de marcheurs rapides se dirige sur la plage et s’éloigne sur le versant de la montagne où ils découvrent 3 rennes. Deux renards polaires sont présents sur le site également, ainsi que des labbes parasites. L’autre groupe parle géologie et visite les restes d’une cabane de Pomores datant probablement du XVIIIe siècle. Ces colons russes se sont installés ici pour pouvoir chasser le morse, et les ruines révèlent des briques qui constituaient les fours d’antan, pour la fonte de la graisse. Aussi, n’est-il pas surprenant de découvrir plus loin sur la plage les innombrables ossements de morses qui témoignent de ce passé. Parmi ce « cimetière » nous découvrons également des vertèbres de baleine.
En début d’après-midi, nous abordons le Freemansundet, ce long détroit qui sépare Edgeoya de Barentsoya. Nous découvrons un ours affairé à manger de l’herbe au Kapp Valdburg sur le versant de montagne. Un renne remonte la pente sans se douter qu’un prédateur potentiel se trouve en ces lieux. L’ours ouvre un œil puis deux et surveille, laisse passer l’ongulé et commence à se lever, gravit doucement la pente, et arrivé à 40 m de deux autres rennes, il joue avec le relief et avance un peu comme un félin en se baissant. Parvenu à 15 m, il bondit subitement et course les deux cervidés !
Il est 21h45 lorsqu’une balade zodiac est proposée dans les lueurs du « soir » à Heleysundet, détroit entre Barentsoya et le Spitzberg. Ce lieu inconnu nous donne l’occasion de zigzaguer parmi les dolérites, là où nichent goélands bourgmestres, mouettes tridactyles et sternes arctiques. Nous flirtons avec les maelstroms. Finalement, dans un magnifique soleil couchant, nous approchons deux morses, deux gros mâles endormis sur un bout de glace. L’un d’entre eux est franchement rose, car il dilate ses vaisseaux sanguins pour dissiper la chaleur en surface de peau. Il est minuit lorsque nous rentrons de la promenade.
Le beau temps nous aurait-il quittés ? Plafond haut, gris, mais très bonne visibilité. Le navire mouille ce matin à 200 m de morses venus se reposer sur la plage d’Ardneset, sur l’île de Wahlbergoya, située au centre de Hinlopen. Nous effectuons une sortie sur terre et approchons les pinnipèdes : tous des mâles, dont certains très imposants, et verruqueux, parvenant à presque 2 tonnes pour les plus volumineux ! Parfois, des coups de défenses lancés à l’aveuglette signalent à certains morses que d’autres dominent et n’entendent pas se laisser importuner par les individus moins armés. Car les bêtes sont entassées pêle-mêle en apparence mais il en est certaines qui défendent une place chèrement acquise.
Le repas est pris en vitesse, car une autre sortie est prévue à 13H30 à Alkefjellet, cette majestueuse colonie d’alcidés et de mouettes tridactyles, installée dans les falaises de basalte. Ce sont de magnifiques tours de fée qui se dressent dans le ciel, et des milliers d’oiseaux affluent de l’océan pour nourrir les jeunes. Les petits guillemots de Brünnich décollent pour la première fois, mais plusieurs goélands bourgmestres et des renards polaires (4 au total) viennent happer certains infortunés. L’observation des canidés est facilitée, car ils descendent des versants verdoyants pour longer le rivage à 7 ou 8 m de hauteur parfois, passant devant les zodiacs.
Vers 16h, nous rebroussons chemin pour repartir par le sud, mais en réalité, c’est pour contourner en soirée le Nordauslandet et plus particulièrement le très long front glaciaire (160 km, la troisième plus grande calotte polaire au monde). Nous débutons donc par le Brasvelbreen, et la vue sur le glacier se réalise depuis le pont pour ceux qui veulent bien prendre le dessert depuis ce point de vue, puisque nous sommes à table lorsque nous approchons du glacier !
Et pour finir : Observation d’un ours nageant sous la barrière de glace !
Ce matin, -1°C, très bonne visibilité et tout autour. Nous apercevons Storoya au loin, couverte de sa belle calotte polaire en dôme. Après le petit déjeuner, un très bel ours, jeune mâle svelte, se déplace d’un pas alerte sur la glace et finit à distance très correcte puisqu’il remplit le viseur des appareils photo. Nous en retrouvons un autre, 800 m plus loin, très maigre. Un autre est localisé 10 km plus loin, endormi sur un hummock. Il s’agit d’une femelle, excessivement bien portante quant à elle. Malheureusement, sa présence, lorsqu’elle se lève enfin, semble mettre en fuite une autre femelle accompagnée de 2 oursons que nous ne parvenons pas à retrouver !
Parvenus à Kvitoya, la banquise compacte ne nous autorise aucun débarquement. Quelques phoques se dessinent au loin, sur la glace. Nous rebroussons chemin et, en cours de route, une ourse et ses deux jeunes sont repérés sur la banquise que nous franchissons en sens inverse. Ce sont les mêmes que ce matin ! La femelle se dirige droit sur nous depuis une distance d’un kilomètre au moins… Les oursons traînent un peu, mais tout ce beau monde parvient finalement à… 15 m du navire, les jeunes nous garantissant un spectacle d’enfer avec leurs mimiques et les sauts pour franchir un passage… Parfois ils s’assoient, bâillent, se reflètent dans l’eau, puis tous trois passent au-devant du navire pour laisser leurs empreintes sur tribord… Nous les laissons s’éloigner pour retrouver le premier mâle observé ce matin, dormant paisiblement sur un hummock. Il consent à se lever et s’approche à 8 mètres, faisant un large sourire aux photographes comblé ! Deux autres ours sont repérés ! En soirée, le ciel noir nous annonce des vents à venir de 25-30 nœuds !!! Nous partons nous mettre à l’abri en oubliant le projet de Storoya !
Ce matin, le navire est à l’ancre en bordure de banquise par 81,2 ° N. L’intention du chef d’expédition est de faire découvrir ce milieu particulier et d’opérer une dépose sur la glace. Cela fait toujours autant plaisir aux passagers de se faire débarquer sur la couche épaisse de 2 à 3 mètres, selon les endroits. Certains se demandent même si c’est assez solide pour soutenir le poids du groupe… Les guides expliquent alors comment se forme et se modifie cette glace salée, quelles contraintes agissent dessus, l’épaississement, les crêtes en marge, les hummocks, le changement de salinité, l’arrivée d’eau douce… certains goûtent la glace qu’ils trouvent douce avec étonnement… Nous guettons bien évidemment l’arrivée possible d’un ours tandis qu’une bonne boisson chaude, alcoolisée pour ceux qui veulent, vient agrémenter la sortie qui se déroule dans une froide humidité. Sans le savoir, les passagers dérivent : les données GPS indiquent 1037 m en 35 minutes soit un déplacement à la vitesse de 29 m par minute ! La profondeur sous la glace est de 400 m environ. Une mouette ivoire nous gratifie de sa visite par un vol sur place à très, très courte distance.
Durant l’après-midi, une ourse approche du bateau, très près, à le toucher et nous garantit de majestueuses photos de sauts ; elle n’arrête pas ses déplacements autour du navire et sillonne entre les blocs blancs et bleus de hummocks, avec comme arrière-fond le turquoise des mares temporaires d’eau douce, et en bordure de plaques où elle vient goûter l’eau de mer. Malgré les consignes répétées à maintes reprises, une passagère court alors que le pont est verglacé et… vlan ! On ne répétera jamais assez : prudence permanente sur le bateau ! Heureusement, plus de peur que de mal ! La croisière ne sera pas interrompue par cette imprudence !
Journée qui débute par une petite pluie fine et de la brume sur le glacier Rijpbreen, en fond du fjord Bengtssenbukta (nord de Nordaustlandet). Pourtant, les zodiacs sont mis à l’eau, et deux groupes de marche sont constitués, afin d’aborder les collines débouchant au-dessus de l’étendue de glace. Auparavant, un petit tour dans le fjord autorise de belles photos d’icebergs, colorés d’un bleu éclatant, du plus bel effet. Deux labbes parasites et un phoque marbré sont observés depuis la plage par les promeneurs lors du retour aux embarcations.
Le soleil se lève enfin et dore le paysage durant le parcours vers les 7 îles. Ainsi, tout le Nordens Kjiöldbukta révèle sa magnificence, avec des montagnes enneigées, scintillantes et belles avec leurs formes pointues. Une lente approche en navire nous fait parvenir à une quarantaine de mètres des phoques barbus, endormis sur la banquise. En arrière-plan, un dos noir se fait remarquer: il s’agit d’un rorqual commun, isolé. Vers 16h, nous parvenons finalement aux 7 îles, sur une mer extrêmement calme. Des floes se montrent prometteurs pour la détection d’éventuels phoques mais ce sont en réalité des morses que nous rencontrons, fortement éclairés par l’astre bienfaiteur. Les individus ne se montrent même pas apeurés par l’arrivée d’intrus comme nous, et nous tournent le dos, ou laissent leur tête dissimulée ! Le paysage est absolument prodigieux sous ces vives lueurs ! Tout le monde est scotché, ébahi ! En naviguant vers le nord ouest du Spitzberg en soirée, nous apercevons de multiples phoques sur les plaques blanches et dérivantes de banquise.
Les îles Amsterdamoya et Danskoya, des sites majeurs de l’histoire du Spitzberg. En effet, c’est sur ces îles que furent établies les stations baleinières hollandaises et dano-norvégiennes dès 1614. Mais l’attrait premier est un cétacé mort, plus exactement un cachalot, qui attise les convoitises depuis quelques semaines, par son odeur pestilentielle ! Et un ours est là… Les zodiacs approchent à 40 m dans un premier temps puis finissent à une vingtaine de mètres, devant une bête totalement impassible semblant se régaler de cette chair nauséabonde. Des goélands bourgmestres lui partagent la proie. Ensuite, nous nous dirigeons vers le détroit séparant les deux îles, laissant la bande de morses se reposer sur la plage d’Amsterdamoya pour la visite de Virgohamna à la place, site prestigieux, d’abord parce qu’il fut utilisé comme station baleinière hollandaise vers 1630, puis parce que ce fut le lieu de départ de l’expédition Andrée en ballon à hydrogène, pour la conquête du pôle nord. Il reste donc les vestiges des anciens hangars de 1897. Des phoques veau-marin sont juchés sur les rochers, tandis qu’un phoque barbu nous rend visite à très courte distance.
Vers midi, cap sur le sud, vers le glacier du 14 juillet ; nous visitons la colonie de macareux moines. Au-dessus de la falaise, des rennes dispersés broutent allègrement tandis que deux grands labbes tournoient sur les glaces. Plusieurs renards polaires sont repérés et se laissent admirer à courte distance pour certains. Plus loin, le clou du spectacle est offert par un phoque annelé qui s’avance vers le rivage, à notre rencontre, et se stabilise devant nous, à 8-10 m pour nous scruter… durant une demi-heure ! Plus loin, un phoque barbu s’alimente tranquillement.
La soirée se termine avec un barbecue sur le pont, en plein air, avec vue sur le glacier qui n’a pas cessé de craquer durant la journée. Que de belles journées nous avons vécues durant cette croisière !
Ce matin, nous arrivons à Bellsund (sud ouest du Spitzberg) et mettons rapidement les zodiacs à l’eau afin de longer le glacier de la Recherche (où eut lieu le premier hivernage pour quelques marins qui durent passer, en 1630, la mauvaise saison sous les chaloupes retournées). Eiders, bernaches nonnettes, sternes arctiques et oies à bec court égayent notre sortie. Le glacier, bleu sur la totalité du front, est de toute beauté. Bien nous a pris de venir en ces lieux, car après avoir repéré le premier ours de la croisière, Fabrice localise maintenant le plus gros individu du séjour : un énorme mâle, grand, massif, et jaune, affairé à fouiner entre les glaces. Réellement impressionnant, le mammifère décide de monter sur un iceberg pour mieux nous surveiller mais semble pourtant un peu inquiet malgré sa carrure qui ferait frémir tous les ours du secteur ! Nous louvoyons ensuite entre les icebergs quand, soudain, un phoque annelé surgit devant le zodiac, à courte distance, et lorsque nous ressortons de la lagune pour tenter de retrouver l’ours, un second ours est localisé, endormi très haut dans la montagne. Plusieurs hareldes boréales survolent le site tandis qu’un second phoque marbré vient nous rendre visite chaleureusement.
L’après-midi se déroule dans le Van Keulenfjorden, à Bourbonhamna, au pied du Midterhukfjellet, où nous débarquons au niveau d’une plage qui fut fréquentée par plusieurs trappeurs et chasseurs de cétacés (cabane en bois et milliers d’ossements de bélougas assemblés en tas). Diverses chaloupes anciennes (de 1930), relativement bien conservées, sont rangées sur les plages en plusieurs points, dans un cadre majestueux. Plusieurs rennes marchent dans la toundra et un renard polaire se manifeste juste lors du retour aux embarcations.
Nous voici dans un coin reculé de l’Isfjorden, et plus précisément dans la baie de Skanbukta, un site très sympathique pour les terrains sédimentaires métamorphisés, les montagnes jaune orangé, l’étroitesse de la vallée et les vestiges historiques (une mine communique avec l’extérieur par une voie de chemin de fer débouchant sur la mer, permettant de conduire le gypse convoité, à partir de 1912 jusqu’au lieu d’embarquement. D’ailleurs, le bateau qui effectuait également le transfert est encore visible un peu plus loin, sur la plage). Divers rennes sont aperçus avant que la pluie et le brouillard ne viennent troubler la vue sur ces reliefs qui disparaissent en conséquence. Après le repas, nous visitons en zodiac le fond du Billefjorden (nord est de l’Isfjorden), et plus exactement, le Nordenskjöldbreen, un glacier spectaculaire qui subit une poussée de 50 m par an, pour une épaisseur maximale de 600 m ! Le front glaciaire, très haut, dévoile un aspect bleuté en raison de fréquents vêlages. Observation de macareux moine, ainsi que de fulmars et d’un premier phoque barbu qui se laisse admirer à proximité immédiate des zodiacs. Deux labbes à longue queue tentent de chaparder la proie d’une mouette tridactyle et un second phoque barbu est localisé, mais nous l’abandonnons pour intégrer l’Ocean Nova, pour les derniers préparatifs. La croisière s’achève doucement alors que nous passons devant Pyramiden, cette ville minière, austère, qui contraste avec tous nos souvenirs de ce beau voyage qui fut probablement la croisière la plus riche en quantité et en qualité d’observation !
Suivez nos voyages en cours, grâce aux carnets de voyages rédigés par nos guides.
Messages
A nos « guides préférés » Alain, Christophe et Pascal !
Avec un train raté à l’arrivée à Roissy à cause de notre retard d’avion…. le retour à Aix a été très difficile avec une température variant entre 30° et 35° degrés… !!!
Nous espérons que votre voyage se déroule aussi merveilleusement bien que le nôtre aux Terres François Joseph…. avec un soleil aussi présent
Je vous fais à tous les trois de grosses bises et Dorian vous envoie toutes ses amitiés
Agathe
A l’attention de Pascal,
Je suis avec grand intérêt le récit de vos aventures. Merci à celui ou à ceux qui prennent la peine de tenir le journal de bord, c’est vraiment intéressant pour ceux qui ne peuvent pas vous accompagner.
Ici RAS. J’attends avec impatience les photos !
A bientôt
Isabelle
TRES BONNE ROUTE GLACEE A TOUS LES PARTICIPANTS ELFIE et Paul MUSER BISES AU KIENTZY
Bonjour à toute l’équipe,
Merci de prendre le temps de nous faire partager, au jour le jour et à distance, ce voyage exceptionnel ainsi que les rencontres d’animaux que nous découvrons également.
Le descriptif de ce compte-rendu nous met vraiment dans l’ambiance. Merci aux personnes qui le rédigent.
Bises à Monique qui est sur place et bonne route à tous.
Christine
Meilleures salutations aux couples Luyet et Debons!
Bruno, Caroline et Amy
Bonjour,
Je souhaite à Brigitte et Jean-Louis Luyet, ainsi qu’au couple Debons un tout beau voyage.
Merci de dire à Brigitte et Jean-Louis, que leur fils Nino va très bien! ?
Bonne fin de voyage à tous et merci pour les compte-rendus! C’est top!
Bravo pour ces excellents commentaires qui nous font vivre presque en live ce voyage « glaciaire ».
Coucou aux deux « chèvres » qui se reconnaîtront.
Merci de nous permettre de vous suivre dans ce magnifique voyage. Bonjour à Marie-Blanche et Armand et à Brigitte et Jean-Louis et bonne suite de voyage a tous.
Bonne fin de voyage et merci pour vos récits, qui font rêver et donnent envie (d’en faire autant !)
L’Ocean Nova, que de souvenirs ! Encore un magnifique séjour, plein d’ours, d’animaux, de surprises et de belles images, merci pour ces compte-rendus qui nous font voyager. Pascal, tu ne voudrais pas prendre le commandement du Polaris en Laponie fin janvier ??!! ? Bonne continuation à tous !
Que de beaux moments vous avez vécu !! Fantastique ! Je suis très contente pour Anne Jaouen (et Gilles) qui découvraient le Spitzberg sur l’Ocean Nova pour la 1ère fois avec ma recommandation depuis la Namibie.
Que Pascal, le guide, leur donne mon bonjour en attendant de se faire coucou à l’aéroport samedi. Que de belles photos ont dû être faites !
mes amitiés à tous.
Andrée
Bonjour à toute l’équipe de l’ OCEAN NOVA La croisière du 4 au 15 08/17 a été magique , merci à tous pour le compte rendu et les si belles photos
Je suis, le compte rendu de la croisière suivante et quelle chance d’avoir eu l’occasion d’observer autant d’ours et baleines , j’aimerais voir des photos!!!!
Encore merci à tous et continuez de nous faire rêver
JOSIANE